La semaine dernière, j’étais tombé sur cette discussion entre Jérôme Blanchet-Gravel et Richard Martineau à propos de ce qui pourrait se produire aux États-Unis:
JBG: [Il faudrait revenir à] une certaine droite plus droite droite là.
RM: C’est ça, le Trumpisme sans Trump, je pense que ce serait la meilleure affaire.
Si on enlève Trump du Trumpisme, que reste-t-il? Dans Le Devoir, quelques professeurs se prononcent sur ce qu’est le Trumpisme, dont Christophe Cloutier-Roy de l’UQAM:
« La critique en référence au fascisme, très dénigrante évidemment, est venue de la gauche, note-t-il. Le trumpisme, contrairement aux grandes idéologies comme le communisme ou le nazisme, n’a pas de base intellectuelle. Il n’y a pas de livre de référence du trumpisme, même si certains thèmes reviennent, la critique de l’immigration notamment. »
Si le Trumpisme n’est basé sur rien et qu’on lui enlève Trump, que restera-t-il?
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